Le 5 Février 2016
Nous avons décidé cette fois-ci de poser nos valises non pas à Perth, mais à Fremantle, ville balnéaire en banlieue de Perth.
« Bienvenus en prison », c’est ce qu’on nous annonce à l’arrivée. Et oui, sans vraiment s’en rendre compte nous avons réservé une auberge de jeunesse qui se trouve en réalité dans l’ancienne prison de la ville. Ca promet un séjour insolite ! Petits frissons en découvrant notre « chambre », une ancienne cellule très exiguë. Pas de cuiller, pas de toilettes à démonter, ni de tatouages avec le plan du bâtiment… Il nous paraît inconcevable que certains aient pu escalader les murs et franchir les barbelés pour s’évader, et pourtant une jeune femme l’a fait… avant d’être rattrapée.
Nous partons à la découverte de la ville, de ses plages et du port de pêche. Les rues semblent être restées bloquées en 1900 avec tous ces bâtiments rappelant l’époque coloniale. Nous nous arrêtons sur l’une des plages contempler un coucher de soleil. Un petit tour dans la rue principale, très animée comme pourrait l’être St Jean de Monts en été : des bars, restaurants grouillants de monde, plein de petits concerts improvisés dans la rue. Nous finissons la soirée dans une brasserie locale pour, une fois n’est pas coutume, déguster quelques bières artisanales.
Nous avons décidé cette fois-ci de poser nos valises non pas à Perth, mais à Fremantle, ville balnéaire en banlieue de Perth.
« Bienvenus en prison », c’est ce qu’on nous annonce à l’arrivée. Et oui, sans vraiment s’en rendre compte nous avons réservé une auberge de jeunesse qui se trouve en réalité dans l’ancienne prison de la ville. Ca promet un séjour insolite ! Petits frissons en découvrant notre « chambre », une ancienne cellule très exiguë. Pas de cuiller, pas de toilettes à démonter, ni de tatouages avec le plan du bâtiment… Il nous paraît inconcevable que certains aient pu escalader les murs et franchir les barbelés pour s’évader, et pourtant une jeune femme l’a fait… avant d’être rattrapée.
Nous partons à la découverte de la ville, de ses plages et du port de pêche. Les rues semblent être restées bloquées en 1900 avec tous ces bâtiments rappelant l’époque coloniale. Nous nous arrêtons sur l’une des plages contempler un coucher de soleil. Un petit tour dans la rue principale, très animée comme pourrait l’être St Jean de Monts en été : des bars, restaurants grouillants de monde, plein de petits concerts improvisés dans la rue. Nous finissons la soirée dans une brasserie locale pour, une fois n’est pas coutume, déguster quelques bières artisanales.
Le 6 Février 2016
Levés tôt, nous voici à bord du ferry pour Rottnest Island (Rotto pour les intimes), une petite île au large de Perth. Pendant l’époque coloniale, on y détenait des aborigènes (décidément nous restons dans le thème). C’est maintenant une île paradisiaque, une Porquerolles australienne. On a loué des vélos pour la journée sur l’île. C’est parti pour 22kms de balade, qui vont se transformer en bel effort physique. Oui, nous n’avions pas étudié la map (le terrain) mais Rottnest est vallonnée, très vallonnée. On monte, on descend mais finalement on apprécie d’autant plus la beauté des lieux. On terminera le dernier kilomètre et demi à pied, le pneu du vélo d’Alexie ayant crevé en route !
On rencontre des locaux très affectueux, attendrissants mais affamés : des Quokkas. Ce sont de petits marsupiaux qui ressemblent à des wallabies miniatures. On apprend qu’autrefois, quelques malins ont inventé un jeu nouveau, le Quokka Ball, se servant des petites bêtes comme ballon de football.
Nos sacs à dos à peine posés par terre, plein de petits quokkas sortent de leur cachette en quête de nourriture et de câlins. On a pensé en adopter un comme animal de compagnie mais l’espèce est maintenant en voie de disparition et protégée.
Levés tôt, nous voici à bord du ferry pour Rottnest Island (Rotto pour les intimes), une petite île au large de Perth. Pendant l’époque coloniale, on y détenait des aborigènes (décidément nous restons dans le thème). C’est maintenant une île paradisiaque, une Porquerolles australienne. On a loué des vélos pour la journée sur l’île. C’est parti pour 22kms de balade, qui vont se transformer en bel effort physique. Oui, nous n’avions pas étudié la map (le terrain) mais Rottnest est vallonnée, très vallonnée. On monte, on descend mais finalement on apprécie d’autant plus la beauté des lieux. On terminera le dernier kilomètre et demi à pied, le pneu du vélo d’Alexie ayant crevé en route !
On rencontre des locaux très affectueux, attendrissants mais affamés : des Quokkas. Ce sont de petits marsupiaux qui ressemblent à des wallabies miniatures. On apprend qu’autrefois, quelques malins ont inventé un jeu nouveau, le Quokka Ball, se servant des petites bêtes comme ballon de football.
Nos sacs à dos à peine posés par terre, plein de petits quokkas sortent de leur cachette en quête de nourriture et de câlins. On a pensé en adopter un comme animal de compagnie mais l’espèce est maintenant en voie de disparition et protégée.